L’actu

Vers un véritable « choc de simplification » ?

Jeudi 30 octobre, François Hollande en personne a tenu à défendre le « choc de simplification » dont il a annoncé, accompagné de 9 membres de son gouvernement, qu’il ne s’arrêterait plus jusqu’en 2016.

Thierry Mandon, le secrétaire d’Etat à la Réforme de l’Etat et à la Simplification estime à 11 milliards d’Euros le gain pour la France d’ici à la fin 2016. Depuis dix huit mois, les « 150 mesures adoptées » auraient déjà permis un gain de 2,4 milliards d’Euros. Numérisation des démarches mais également vie des français, les mesures ambitionnent de simplifier notre quotidien, les entreprises sont au coeur du dispositif.

Au programme, 50 mesures ciblées sur les entreprises, telles que les délais prudhommaux, la simplification des obligations comptables des micro-entreprises qui n’ont pas eu d’activité l’année écoulée, la création d’une carte d’identité électronique pour les entreprises reconnue par l’ensemble de l’administration, une assiette du crédit d’impôt recherche revue et clarifiée…

Interrogé par Europe 1, ce samedi 1er novembre et cité par Le Lab-Europe 1, Thierry Mandon déplore les séances de nuit à l’Assemblée Nationale au cours desquelles « on légifère à l’aveugle. On prend des amendements la nuit qui créent des droits nouveaux qui s’avèrent inapplicables ». Le secrétaire d’Etat annonce également qu’à partir du 1er janvier 2015 « chaque fois qu’on votera une loi nouvelle, chaque fois qu’on votera un décret nouveau, un comité d’évaluation de l’impact de ces mesures sur la vie des entreprises, comité indépendant, donnera un avis public sur les conséquences de la loi envisagée. Pas sur son opportunité, sur son bien-fondé, mais préviendra le parlementaire ou l’exécutif, avant qu’il signe, ce que la mesure implique pour les entreprises ».

Ce choc de simplification est donc prometteur, il reste à en connaître les modalités précises d’application et la capacité du gouvernement à le mettre concrètement en oeuvre.

Sountsou publie les Cahiers Experts

C’est aujourd’hui que Sountsou – Affaires Publiques publie le premier numéro des Cahiers Experts intitulés « les 10 erreurs à éviter en relations institutionnelles ».

Véritable outil au service des dirigeants d’entreprise, les Cahiers Experts sont publiés sur le site de Sountsou. Pour les obtenir il suffit de vous inscrire et vous les recevrez gratuitement. « Illustrés d’exemples concrets ils visent à apporter aux chefs d’entreprise des conseils pratiques mais également une approche franche et sans concession, je balaye quelques idées reçues qui peuvent coûter cher aux entreprises » précise l’auteur, Mathieu Quétel, président de l’agence Sountsou.

Sountsou – Affaires Publiques qui s’adresse en priorité aux PME a également mis en place une démarche Affaires Publiques 3.0 et ambitionne de réfléchir et de proposer des nouvelles solutions adaptées à la révolution numérique. Les Cahiers Experts publieront les résultats de ses recherches en plus de conseils pratiques et opérationnels.

Dans ce premier numéro, 10 conseils qui vous éviteront peut être de tomber dans « la facilité du tous pourris » ou « le lobbying à la papa » ou encore de « ne pas avoir confiance en vous »… 

Un numéro à découvrir d’urgence et gratuitement ici.

Les Cahiers N°1

CB News parle de Sountsou

Thierry Wojciak a signé un article dans CB News dans lequel il évoque Sountsou – Affaires Publiques et ses spécificités :

« Impalpable et immatériel, l’expert ne laisse pas de trace ; mystérieux comme une divinité, il est inaudible. C’est ainsi qu’il met l’ennemi à sa merci » . Signée Sun Tzu dans son livre « L’art de la guerre », la phrase résonne en écho à la création par Mathieu Quétel de l’agence … Sountsou – Affaires Publiques. Spécialisée dans les relations institutionnelles, la nouvelle structure lancée par l’ex directeur général du groupe radiophonique 1981 (Vibration, Ado FM, Forum, Latina, Voltage, Wit FM, Blackbox) et actuel vice-président du Syndicat interprofessionnel des radios et télévisions indépendantes (SIRTI), ambitionne de s’adresser aux PME, start-ups et autres filiales de grands groupes soit par le biais de leurs organisations patronales, soit en direct, tout en intégrant une dimension digitale et en portant une démarche « affaires publiques 3.0 ». Elle a, dans ce cadre, pour vocation « d’accompagner les acteurs de l’économie numérique et ceux de l’économie traditionnelle dans la négociation des adaptations légales et réglementaires » sur tous les secteurs d’activité mais avec une prédilection pour « les médias et le digital », explique son fondateur. Sountsou – Affaires Publiques, qui se veut également un espace de réflexion, publiera en outre régulièrement « Les Cahiers Experts », une série de manuels sur des thématiques liées aux relations institutionnelles. La collection accompagnera les chefs d’entreprise « dans leur réflexion avant qu’ils ne se lancent dans une démarche à l’égard de la sphère publique », selon M. Quétel. Ces Cahiers seront directement accessibles sur le site de l’agence.

Sountsou dans La Lettre de l’Audiovisuel

La Lettre de l’Audiovisuel a récemment publié un article au sujet de Sountsou – Affaires Publiques que vous pouvez retrouver ci-dessous :

ACTUALITÉ : Mathieu Quétel, ancien dirigeant de Groupe 1981 (ex-Start et Sud Radio Groupe), vient de lancer une agence de relations institutionnelles « nouvelle génération » baptisée Sountsou.

Cette agence entend proposer « une approche différente des relations institutionnelles » particulièrement destinée aux PME, aux start-up ou aux filiales de grands groupes, soit par le biais de leurs organisations patronales, soit en direct, notamment pour celles qui évoluent dans un secteur régulé, réglementé ou sensible aux évolutions légales, mais elle peut accompagner également les grandes entreprises. La seule contrainte est que toutes ses entreprises intègrent la dimension digitale dans leur vision et leur développement. « Notre fonctionnement collaboratif, notre réactivité basée sur le modèle des start-up ainsi que l’empathie sont des éléments clés de notre démarche », explique le président Mathieu Quétel. Sountsou est également un lieu de réflexion sur l’évolution des relations institutionnelles et des lois à l’heure du numérique. L’agence publiera régulièrement les Cahiers experts, une série de manuels sur des thématiques liées aux relations institutionnelles. Cette collection a pour ambition d’accompagner les chefs d’entreprise dans leur réflexion avant qu’ils ne se lancent dans une démarche à l’égard de la sphère publique.

 

 

 

Un nouveau président pour la CGPME

Le président sortant de la CGPME, en poste depuis treize ans, ne briguera pas un nouveau mandat en janvier. Une situation qui aurait pu donner lieu à une guerre interne. Ce ne sera finalement pas le cas.

Ils étaient pourtant deux à être annoncés pour aller à la confrontation : Geneviève Roy la vice-présidente en charge des affaires sociales et François Asselin, le président de la CGPME Poitou-Charentes. Au final, les adhérents de la CGPME auront à désigner un « ticket », Geneviève Roy ayant décidé de rejoindre François Asselin.

Assurer la suite du charismatique Jean-François Roubaud ne sera pas tâche facile. Les enjeux sont nombreux et la CGPME reste encore trop dans l’ombre du MEDEF qui occupe fortement le terrain médiatique sans forcément donner une image « TPE-PME » des entreprises. Outre les traditionnelles négociations sociales et relations institutionnelles, le nouveau président de la CGPME devra imposer son organisation dans le match médiatique pour séduire de nouveaux adhérents face au puissant MEDEF.

La clôture des inscriptions des candidats est fixée au 21 décembre.