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Catégorie : Pause Café

Le Refuge lance sa campagne de dons

L’association Le Refuge qui accompagne et héberge les jeunes de 18 à 25 ans rejetés par leurs parents au motif qu’ils sont homosexuels lance sa campagne de dons pour la saison 2015-1016.

Le Refuge met en avant, dans sa campagne TV, l’action des travailleurs sociaux et des éducateurs, salariés de l’association qui se mobilisent tous les jours avec les jeunes pour les conseiller et les aider à rebondir.

Les dons sont indispensables à l’action du Refuge qui est financé à 70% par la générosité des donateurs composés de personnes physiques mais également d’entreprises grâce au Fonds créé il y a quelques mois et dont la Newsroom-Sountsou a déjà parlé il y a quelques semaines.

Une campagne de spots de publicité sera diffusée sur les chaines de télévision du 18 novembre au 3 décembre, nous vous proposons de découvrir le message enregistré en avant-première par Françoise Laborde.

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Les entreprises peuvent également soutenir le Refuge, son président Nicolas Noguier expliquait comment à la Newsroom-Sountsou il y a quelques semaines, retrouvez son interview ici.

Visitez le site du Refuge : www.le-refuge.org

Une République trouble

Marc Baudriller, responsable de la rubrique médias du magazine Challenges, publie chez Taillandier « Une histoire trouble de la Vème République », un livre passionnant qui nous propose un voyage au coeur des affaires qui ont ponctué ces cinquante dernières années et qui ne sont sans doute pas sans rapport avec le désarroi actuel des Français.

L’auteur met en exergue la situation de la presse française et son affaiblissement sans précédent à la sortie de la seconde guerre mondiale, il pointe également le rôle déterminant du Canard Enchaîné dans l’affaire des diamants en 1979. Surtout, il souligne l’explosion des affaires à partir des années 80 et regrette « Les dénombrer avec précisions paraît difficile. L’exercice imposerait de faire la part des « petites » et des grandes affaires sur des critères subjectifs ». Alors, l’auteur fait le choix de décrypter quelques affaires emblématiques de la droite, de la gauche ou simplement de leur époque, sans prétendre être exhaustif, simplement un témoin passionnant et captivant de notre histoire contemporaine.

Cet ouvrage peut sembler dérangeant puisqu’il fait le choix de décrire « le poison des affaires » de notre République, qui prétend être si parfaite. Il est en réalité salvateur en ce qu’il montre les dessous d’une démocratie qui, parfois, pour se protéger, utilise des méthodes douteuses qu’il convient de ne pas oublier. Il décrit les dérives d’un pouvoir aux abois, acculé, qui en est réduit à mettre sur écoute un journal jugé dangereux. Il nous rappelle ces présidents de la République qui échappent, souvent, aux affaires qui émaillent leur mandat et touchent tant de leurs proches.

Pour qui s’intéresse à la politique, cette « histoire trouble de la Vème République » est à lire absolument.

Éthique et médias

Le 1er septembre est paru l’ouvrage collectif « Politique et éthique : regards croisés » chez Bart & Jones. Sous la direction éditoriale de Nathalie Bordeau et David-Xavier Weiss, 17 co-auteurs, universitaires, élus ou chefs d’entreprise confrontent leurs réflexions. Le chapitre consacré aux médias a été confié à Mathieu Quétel, président de Sountsou. Nous vous invitons à découvrir aujourd’hui, l’introduction de cette partie du livre, dont l’intégralité des droits d’auteurs est reversée à l’association Le Refuge.

« Lorsque David-Xavier Weiss m’a demandé d’écrire sur le thème de l’éthique et des médias, je me suis immédiatement trouvé face à une flopée d’interrogations : que peut-on ou non montrer ? Pourquoi les journalistes s’arrogent-ils le droit de cacher certaines informations ? Pourquoi jugent-on les citoyens insuffisamment matures pour leur dévoiler certaines images ? Quelle place pour l’éthique dans les médias traditionnels lorsque le net est libre de toute régulation ? Qui peut décider de ce qui relève de la vérité, de l’éthique et qui est vraiment en capacité de mesurer les limites à poser ? Faut-il envisager la création d’un organisme de contrôle de l’éthique et de la déontologie journalistique ? Vaste sujet qui concerne un secteur en pleine mutation.

Les médias traditionnels ont un rôle éminent à jouer dans notre société devenue à la fois complexe et rapide dans ses évolutions. Ils ont bien entendu une mission de découverte, d’accès au savoir mais également de divertissement. Dans un environnement numérique, sans contrôle ni véritable rigueur éditoriale, ils constituent un outil fiable d’accès à l’information.

Néanmoins, les médias traditionnels, mais également les acteurs de l’information pure players du net (car il en existe aujourd’hui de sérieux), sont confrontés à une évolution  de leur modèle économique et à la recherche de la monétisation de leur audience. Les modèles pérennes n’ont pas encore été trouvés et, il faut l’admettre, la stabilité économique est la base d’une bonne information. Nous assistons ces derniers mois à une vague de concentration dans la presse avec le rachat de l’Express par Patrick Drahi, celui du Parisien par LVMH, l’audiovisuel est également touché avec la cession controversée de Numéro 23 à Next Radio TV (RMC, RMC Découvertes, BFMTV, BFM Business…) et d’autres vont immanquablement suivre. Si les marques survivent, les actionnaires historiques s’effacent au profit d’industriels ou d’acteurs de la nouvelle économie, ce qui ne manque pas de poser la question des évolutions éditoriales et des pressions qui pourraient s’exercer à terme sur les rédactions. Les médias attirent de nouveaux entrants, souvent industriels ou richissimes investisseurs, qui semblent être les seuls à être en capacité de soutenir la mutation digitale de la presse et de l’audiovisuel. Les intérêts économiques seront-ils prioritaires à la recherche de l’information ?

Depuis longtemps, les journalistes sont soupçonnés, à tort ou à raison, de connivence avec le personnel politique, ces rapprochements capitalistiques vont ils leur ôter toute liberté éditoriale et toute légitimité à l’égard du public ? Si cette dérive devait se produire, elle serait préjudiciable aux médias eux-mêmes qui ne trouveraient plus leur public. Néanmoins, on peut espérer en la solidité des rédactions face à leurs actionnaires pour ne pas se laisser entrainer dans cette impasse.

L’éthique dans les médias est également bousculée par l’apparition de nouveaux censeurs qui tentent de s’ingérer dans les rédactions et de donner des labels de bonne conduite (de bonnes pensées ?) aux éditorialistes ou aux polémistes. Quand les médias cèdent à ces pressions, se pose la question de la liberté d’expression mais également du débat dans l’espace public. Or, le risque est grand de voir les digues autour des médias se briser et ceux-ci sombrer dans une dangereuse aseptisation de leurs contenus.

Le numérique bouscule tout, y compris les médias. Mais il est là, inévitable. Il s’agit désormais d’une lapalissade mais il y a encore quelques mois, de nombreux dirigeants de médias regardaient le digital avec une certaine condescendance, considérant que les contenus, leurs contenus, constitueraient une plus-value incontournable face au net. Ils avaient en partie raison. Les géants du net ont entamé une véritable course éditoriale pour enrichir leurs offres et ils rivalisent d’imagination pour proposer aux adeptes des réseaux sociaux, par exemple, des articles désormais intégrés et en partage de revenus avec les éditeurs, comme le fait Facebook. Google s’est lancé dans la mise en place d’un Fonds européen pour la presse, initié en France. Le Digital News Initiative, est doté de 150 millions d’euros pour trois ans et sur toute l’Europe quand le Fonds pour l’innovation numérique de la presse (FNIP) français était doté de 60 millions d’euros pour les seuls éditeurs français, ceux-ci vont donc percevoir moins de soutien de la part du géant américain. Cette opération de séduction européenne vise à apaiser les tensions entre Google et les éditeurs, entre celui qui diffuse des contenus et bénéficie des revenus publicitaires générés et ceux qui fabriquent ces contenus mais qui ne sont plus rémunérés à juste mesure. C’est un enjeu primordial pour la presse, menacée de paupérisation.

Les attentats des 7 et 9 janvier ont choqué la France et ont rendu visible à tous la menace sournoise qui pèse sur notre pays. Ce choc collectif appelait des décisions fortes de la part du gouvernement qui se sont, notamment, traduites dans le vote de la loi Renseignement, véritable outil de chasse à l’information sensible mais également de surveillance collective des citoyens par le gouvernement. Plusieurs dispositions de cette loi posent des questions essentielles de liberté publique et de liberté de la presse, notamment sur la protection des sources et sur la récolte de l’information. Dans une approche de l’éthique des médias, ce sont des éléments à considérer, car plus les journalistes subissent de pressions externes, plus le risque sera grand de basculer vers une auto-censure de précaution face au risque pénal encouru. »

Pour acheter l’ouvrage « Politique et Éthique : regards croisés », rendez-vous chez votre libraire préféré, vous pouvez également le commander en ligne ici.

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Livre : concilier éthique et politique

Nathalie Bordeau et David-Xavier Weiss dirigent l’ouvrage collectif « Politique et éthique : regards croisés », paru le 1er septembre chez Bart & Jones. 17 co-auteurs (dont Mathieu Quétel, président de Sountsou) livrent leurs réflexions sur la politique, l’éthique et sur la démocratie. Sountsou les a rencontré.

Newsroom Sountsou : « Votre ouvrage est original, il permet à 17 co-auteurs de livrer leurs réflexions sur la politique, l’éthique mais également les médias, sans jamais se rencontrer vraiment, comment vous est venue cette idée ? »

Nathalie Bordeau / David-Xavier Weiss : Comme nous l’expliquons dans l’introduction de l’ouvrage, la crise de gouvernance qui a touché l’UMP en juin 2014, par laquelle nous nous sommes sentis aussi concernés qu’atterrés, a été en quelque sorte l’élément déclencheur de ce projet. Voir des personnalités d’envergure nationale bafouer sans la moindre hésitation les statuts ratifiés moins d’un an plus tôt par les adhérents ne correspondait vraiment pas à l’idée que nous nous faisions de la dimension éthique, pour nous indissociable de toute implication dans la vie politique. Et en regardant ce qui se passait dans les autres partis, d’un bout à l’autre de l’échiquier, nous ne pouvions que constater que ce n’était pas mieux, et même souvent pire, quoi que sous des formes diverses.

Il s’agissait donc moins de la crise d’un parti que du fonctionnement global d’un système où les valeurs individuelles ne tenaient plus suffisamment lieu de garde-fou déontologique.

Mais nous percevions toute la complexité du problème, aussi il nous a semblé intéressant d’associer des coauteurs de différents horizons, français et étrangers, jeunes ou moins jeunes, impliqués ou non dans la vie politique, universitaires, écrivains, journalistes ou issus de la société civile, afin que chacun exprime librement sa vérité et que nous ressortions tous avec une réflexions enrichie de la diversité des points de vue.

Les coauteurs ne se sont pas tous rencontrés avant la finalisation de l’ouvrage à la fois pour des raisons d’éloignement géographique, mais aussi pour que la réflexion de chacun ne soit pas influencée par celle des autres. C’est cette variété des profils et des points de vue qui fait, à nos yeux, toute la richesse de l’ouvrage.

« Si on en croit les sondages, politique et éthique semblent assez irréconciliables aux yeux des Français, qu’en pensez-vous ? »

NB/D-XW : Le souhait commun de tous les coauteurs est justement de montrer que non seulement on peut, mais qu’en plus on doit concilier politique et éthique, car cela va dans le sens du respect des électeurs et de l’efficacité des actions.

Nous avons voulu aussi montrer à quel point c’est difficile, car ce sont précisément souvent les hommes et femmes politiques les plus honnêtes et les plus impliqués dans l’action, qui sont les moins soucieux de jouer le jeux des médias, et ceux-ci le leur font payer très cher, y compris en remettant en cause leur éthique, parfois sans la moindre raison, ou en présentant comme des dérapages des faits parfaitement légaux ou imputables à de tierces personnes. L’impression que le grand public peut avoir d’un manque d’éthique généralisé de la classe politique n’est que l’effet du miroir déformant de la recherche de sensationnalisme des journalistes et de leur déontologie parfois très élastique. Les journalistes plus soucieux d’éthique que d’audience existent, mais il faut bien reconnaître qu’ils sont l’exception.

« À quelles affaires faites-vous référence lorsque vous évoquez la mise en cause, à tort, de l’éthique de certains élus, par les médias ? »

NB/D-XW : Les affaires où des élus, et en particulier des personnalités de premier plan, sont très médiatiquement mis en cause, puis lavés de tout soupçon beaucoup plus discrètement, sont légion. Un exemple emblématique est celui de Eric Woerth; et on se dirige vers un schéma semblable concernant Jean-François Copé. Sans surprise pour qui connait l’un ou l’autre de ces hommes de conviction et d’engagements….

« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » semble être le credo d’une certaine presse, peu scrupuleuse et fort soucieuse de sensationnalisme…

Sans parler du scandale des personnages publics dont la vie privée est dévoilée sans leur accord ! L’exemple récent de Florian Philippot nous a rappelé que le droit à la vie privée est bien fragile quand les médias le battent en brèche !

« Nous entrons dans la phase de pré-campagne pour la présidentielle de 2017, croyez vous en l’émergence d’une nouvelle génération d’élus ? »

NB : L’émergence d’une nouvelle génération d’élus est souhaitable quand elle est un vecteur pour renouveler les idées et les pratiques. Mais elle ne doit pas consister à vouloir faire à tout prix émerger de nouvelles têtes, sans se soucier des valeurs qu’elles incarnent.

Le jeunisme, en politique, n’est pas plus souhaitable que la gérontocratie.

Oui, cette période de pré-campagne  devrait  faciliter l’émergence d’une nouvelle génération d’élus. Et il serait souhaitable que ce soit ceux qui ont une action de terrain de longue date et une implication dans le fonctionnement des partis politiques, qui se trouvent ainsi mis en lumière. Mon coauteur David-Xavier Weiss fait d’ailleurs partie de ceux qui amèneraient un renouveau de valeurs et de pratiques s’il accédait à de nouvelles responsabilités. Et son souci des questions éthiques, manifeste au travers de cet ouvrage comme des diverses fonctions qu’il exerce ou a exercé, est un argument supplémentaire en sa faveur.

Chaque parti politique a sans doute en son sein de semblables talents, à qui il est hautement souhaitable de donner plus encore l’opportunité de s’investir au service de l’intérêt général. Certains hommes politiques connus du grand public sont fort soucieux de ces bonnes pratiques, mais nul doute qu’une nouvelle génération, à leurs côtés, aidera à les faire émerger.

« Vous avez fait le choix de soutenir l’association Le Refuge, un rapport avec les thématiques de votre ouvrage ? »

NB/D-XW : Le Refuge n’est en aucun cas une structure politique, mais quoi de plus éthique que de venir en aide à des jeunes rejetés par leur famille en raison de leur orientation sexuelle ? Le Refuge les aide à se loger, à poursuivre leurs études, à trouver un emploi, et aussi et surtout à se reconstruire émotionnellement.

Alors si notre ouvrage peut aider à faire connaître cette association exemplaire, y compris dans des milieux où elle l’est peu, il n’aura de toutes façons pas été inutile.

Nous espérons, certes, que le livre aura du succès par son contenu, mais si il est parfois acheté surtout pour aider Le Refuge, c’est très bien également.

Les 17 coauteurs ont tous approuvé le soutien à cette association et ont, de ce fait, tous travaillé bénévolement à la réalisation de cet ouvrage. C’est un fort beau message en soit : l’éthique et l’investissement personnel existent chez un large panel de personnes, issues d’horizons divers.

« Politique et éthique : regards croisés » est publié chez Bart & Jones et disponible sur Amazon, I Tunes ou la FNAC en e book et livre physique.

Nathalie Bordeau, a occupé différents postes à responsabilité dans des cabinets ministériels, pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy, elle était en charge des affaires réservées au cabinet du Premier ministre, elle est aujourd’hui chargée de mission Intelligence Économique au Conseil départemental des Hauts de Seine.

David-Xavier Weiss est Maire-Adjoint de Levallois-Perret et journaliste politique. Il est également secrétaire national du Centre National des Indépendants et Paysans (CNIP) en charge du Tourisme et porte-parole francilien du CNIP.

Politique et éthique : regards croisés 

Le 1er septembre, paraîtra l’ouvrage « Politique et éthique : regards croisés », aux éditions Bart & Jones, fruit des réflexions de 17 auteurs qui, sous la direction de Nathalie Bordeau et David-Xavier Weiss, exposent librement et indépendamment les uns des autres leur point de vue sur le sujet. Mathieu Quétel, président de Sountsou est l’un des co-auteurs de l’ouvrage.

Au premier abord sous l’angle d’une critique d’un système politico-médiatique français à bout de souffle, le livre fait ressortir, au final, le sentiment commun que politique et éthique s’enrichissent mutuellement, mais qu’il reste à la première beaucoup à apprendre de la seconde pour redonner envie de s’investir pleinement et de se réapproprier la vie de la Cité.

De l’échelon local à l’échelon national ou européen, de Paris à Bruxelles, du Moyen Orient à l’Afrique subsaharienne, des coulisses des cabinets ministériels et des grandes rédactions, du monde de l’entreprise et à celui des associations, politique et éthiques ne cessent de s’entrecroiser, souvent pour le meilleur, parfois sous les fourches caudines d’une réalité sans concession.

La préface de l’ouvrage est signée d’Alain Juillet, qui a ainsi souhaité s’associer à une volonté collective de donner de notre vie publique une image parfois moins sévère, mais toujours plus exigeante. C’est d’ailleurs le sens de la démarche de Nathalie Bordeau et David-Xavier Weiss qui, très concernés par les événements ayant agité le monde politique, en particulier ces derniers mois, ont voulu faire de leurs interrogations un vecteur de changement et d’émergence de bonnes pratiques -souvent déjà existantes, mais moins soulignées que leur absence conjoncturelle.

Parmi les coauteurs qui ont contribué à cet ouvrage, on trouve des universitaires français et étrangers, comme Catherine Mercier-Suissa, Eric Kouevi, Julien Husson, Christophe Schmitt, Didier Nobile, Nehme Azouri, Charbel Salloum, Jacques Digout et Quentin Lefebvre, des journalistes et écrivains, au travers des contributions de Laurent Kupferman et Océane Labalette, mais aussi des  personnes issues de la société civile et du monde de l’entreprise, comme Marc Lefebvre, Mathieu Quétel, David Noual et Alban Boyer.

Le président de Sountsou est l’auteur d’un chapitre intitulé « éthique et médias » dans lequel il revient sur le traitement de l’affaire DSK, la polémique autour d’Éric Zemmour en décembre 2014 ou, plus récemment, la couverture par les médias audiovisuels des attentats de janvier en France. L’occasion de pointer du doigt à la fois certaines postures journalistiques surprenantes lorsqu’elles ne sont pas contradictoires et surtout de porter un éclairage original sur les nouveaux censeurs qui tentent de s’imposer dans notre espace médiatique.

L’intégralité des droits d’auteur relatifs à cet ouvrage seront reversés à l’Association  Le Refuge, qui a été reconnue d’utilité publique en 2011. Elle gère plusieurs dispositifs d’hébergement temporaire et d’accompagnement psychologique et social à destination d’adolescents et jeunes majeurs confrontés à des situations d’homophobie ou de transphobie de la part de leur entourage, et particulièrement du milieu familial. 5 270 jeunes ont contacté l’association depuis sa création. 731 ont été hébergés au 31 décembre 2014.

« Politique et éthique : regards croisés » est publié chez Bart & Jones et disponible sur Amazon, et I Tunes en e book et livre physique.